Le projet audacieux de Norman Foster pour construire une tour de deux kilomètres en Arabie Saoudite marque une avancée majeure dans l’architecture moderne, redéfinissant les limites de la construction urbaine.
UNE NOUVELLE FRONTIÈRE DE L’ARCHITECTURE URBAINE
Norman Foster, célèbre architecte britannique, se lance dans un projet ambitieux en Arabie saoudite : la construction d’une tour impressionnante qui pourrait atteindre presque deux kilomètres de hauteur. Ce gratte-ciel colossal est envisagé au sein de la ville futuriste utopique appelée « The Line », située dans le nord de Riyad, la capitale saoudienne.
UN PROJET VISIONNAIRE POUR L’AVENIR DE L’ARABIE SAOUDITE
Ce projet pharaonique est porté par « Neom », un fonds public saoudien de 500 milliards de dollars, dans le cadre de la stratégie Vision 2030 visant à diversifier l’économie du pays et à réduire sa dépendance au pétrole. Cette tour emblématique incarne non seulement une prouesse architecturale, mais aussi une vision audacieuse pour l’avenir urbain de l’Arabie Saoudite, positionnant le pays à la pointe de l’innovation et du développement durable dans le domaine de la construction.
UN DÉFI POUR BATTRE TOUS LES RECORDS
Si ce projet voit le jour, la tour de deux kilomètres de haut surpassera, de loin, le Burj Khalifa de Dubaï, actuellement le plus haut bâtiment du monde avec ses 828 mètres.
Cette ambition de défier les lois de la gravité et de repousser les limites architecturales est un phénomène récurrent : le paysage urbain mondial est constamment redessiné par des gratte-ciels toujours plus hauts.