IMAGINING THE HOUSE

WANG SHU

En 2012, on peut ainsi être jeune, chinois, Pritzker Prize et vénérer le dessin à main libre. Avec son papier recyclé et sa reliure à la ficelle, ce carnet de dessins ressemble à Wang Shu. 

Chaque réalisation est présentée par un court texte dans lequel l’architecte parle davantage de la manière et de l’état d’esprit dans lesquels il les a dessinés que des bâtiments eux-mêmes. Suivent parfois une ou deux images de chantier, puis une sélection de croquis qui se déploient jusqu’à quatre feuillets pliés pour garder les formats d’origine. « Le dessin à la main libre est une manière pour moi de me sentir plus proche de la nature », écrit-il. 

Avec son épouse et partenaire Lu Wenyu, il ne travaille jamais, dit-il, directement à partir de styles historiques ou de modèles.

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