À la croisée des limites : entretien avec Mahdi Naim lors de la Conférence internationale « Limit/No Limit »

Retour sur l’univers fascinant de la Conférence internationale « Limit/No Limit » où Mahdi Naim, designer marocain vivant et exerçant en France et au Maroc, a apporté son expertise éclairée. Du 24 au 26 janvier 2024, Paris a accueilli cet événement de renom au sein de l’Art Design Recherche Conférence [AD•REC]. Axée sur l’exploration des limites méthodologiques dans la recherche en art et design, cette conférence a permis de faire des échanges passionnants et des réflexions pointues. Nous avons rencontré Mahdi Naim pour vous.


A+E // POUVEZ-VOUS NOUS EXPLIQUER COMMENT VOTRE DOMAINE D’EXPERTISE S’EST CONNECTÉ AU THÈME DE LA CONFÉRENCE « LIMIT/NO LIMIT » EN EXPLORANT LES LIMITES MÉTHODOLOGIQUES DANS LA RECHERCHE EN ART ET DESIGN ?

Mahdi Naim : La connexion entre mon domaine d’expertise et le thème de la conférence « Limit/No Limit » a été profonde et stimulante. En tant que Chief Design Officer, Designer Industriel, Chercheur en Innovation, et Technologue, mon parcours professionnel et académique s’est construit autour de l’exploration constante des frontières de l’art, de la technologie et de la créativité. Lorsque nous avons abordé le sujet des limites méthodologiques dans la recherche en art et design, je n’ai pu m’empêcher de réfléchir à ma pratique qui s’est étendue entre le Maroc et la France. Ces deux contextes culturels présentaient des attentes et des perceptions distinctes envers le design et l’art. Mon expérience soulignait la complexité de naviguer entre ces deux mondes, où les nuances culturelles influençaient directement la façon dont le design était vécu et interprété. Dans cette exploration des limites méthodologiques, ma pratique se transformait en un dialogue constant entre le sensible et l’intelligible, pour emprunter les termes de Platon et Aristote. Les attentes différentes entre le Maroc et la France me poussaient à remettre en question les approches conventionnelles, à repenser les méthodologies établies, et à trouver un équilibre entre les diverses perceptions du design. De plus, ma réflexion sur la crise écologique et son lien avec l’outil rationnel influençait profondément ma pratique. Je m’engageais dans une philosophie critique de l’innovation, cherchant à transcender les limites imposées par une rationalité trop prédominante. Mon exploration de l’innovation non standard, que j’avais baptisée « l’innovation mystique », représentait une réponse à cette recherche d’une raison écologique dans la création et le design.

Ainsi, ma participation à la conférence « Limit/No Limit » n’a pas seulement été une occasion de partager mes expériences, mais également de contribuer à la réflexion sur la manière dont les frontières méthodologiques dans la recherche en art et design pouvaient être repoussées. La diversité de mes influences et de mes expériences entre le Maroc et la France enrichissait cette conversation, démontrant que les limites méthodologiques étaient également des terrains féconds pour l’innovation et la créativité.

A+E //  QU’ESPÉRIEZ-VOUS APPORTER À CETTE CONFÉRENCE ET QUELLES ÉTAIENT VOS ATTENTES QUANT AUX DISCUSSIONS ET ÉCHANGES QUI ONT EU LIEU SUR CE SUJET ?

M. N. // En participant à la Conférence internationale « Limit/No Limit », j’aspirais à apporter une perspective unique, forgée par mon parcours diversifié entre le Maroc et la France, ainsi que ma philosophie critique de l’innovation. Mes attentes pour cette conférence étaient riches et variées, alignées sur la nature multidimensionnelle du thème « Limit/No Limit ». En tant que Chief Design Officer, Designer Industriel, Chercheur en Innovation, et Technologue, je souhaitais partager mon expérience interdisciplinaire qui embrasse à la fois le design, la technologie et la recherche. Mon approche holistique pouvait contribuer à élargir la compréhension des limites méthodologiques et à explorer des solutions innovantes. Ma pratique entre le Maroc et la France offrait une opportunité d’explorer les limites culturelles dans le contexte du design. J’espérais encourager un dialogue constructif sur la diversité des perceptions du design et sur la manière dont cela pouvait enrichir les approches méthodologiques. En présentant mon concept d’innovation mystique, je souhaitais stimuler une réflexion sur des approches non conventionnelles de l’innovation. Cela pourrait ouvrir des perspectives nouvelles et créatives sur la manière dont nous abordons la conception et la recherche artistique. J’attendais avec impatience des discussions qui refléteraient la diversité des perspectives présentes à la conférence. Les échanges entre des esprits créatifs, chercheurs et passionnés d’art et de design offriraient une occasion unique de découvrir des approches méthodologiques variées.

Les trois pistes de la conférence, « RESSOURCES », « SYSTÈMES », et « ÉPISTÉMOLOGIE », promettaient des discussions approfondies. J’espérais explorer ces dimensions de manière critique et réflexive, en cherchant des connexions avec mes propres recherches et expériences. En lien avec ma réflexion sur la crise écologique, j’espérais participer à des discussions constructives sur la manière dont la raison écologique pouvait être intégrée dans nos méthodologies de conception. La crise écologique était un défi majeur, et j’étais enthousiaste à l’idée de partager des idées sur des solutions durables.

Enfin, je m’attendais à ce que la conférence crée des opportunités de collaboration interdisciplinaire. L’échange d’idées avec d’autres participants pourrait déboucher sur des collaborations résilientes et novatrices qui transcendaient les limites méthodologiques traditionnelles.

En somme, ma participation visait à contribuer à une réflexion profonde sur les limites méthodologiques, à partager des expériences significatives, et à explorer des voies novatrices pour l’avenir du design et de la recherche artistique. J’étais convaincu que ces échanges contribueraient à repousser les frontières de la créativité et de l’innovation.

A+E //  COMMENT PERCEVIEZ-VOUS L’IMPORTANCE DE REPOUSSER LES LIMITES MÉTHODOLOGIQUES DANS LE DOMAINE DE L’ART ET DU DESIGN, ET EN QUOI CELA POUVAIT-IL IMPACTER LA DISCIPLINE DANS SON ENSEMBLE ?

M. N. // Repousser les limites méthodologiques dans le domaine de l’art et du design revêtait une importance cruciale pour plusieurs raisons, et les implications de cette démarche pouvaient avoir un impact significatif sur la discipline dans son ensemble. L’innovation naissait souvent de la remise en question des méthodologies établies. En repoussant les limites méthodologiques, les créateurs pouvaient explorer de nouveaux terrains, adopter des approches non conventionnelles et découvrir des solutions novatrices. Cela stimulait la créativité et encourageait le développement de nouvelles idées et concepts dans le domaine de l’art et du design. Les limites méthodologiques pouvaient parfois restreindre la diversité des approches artistiques et de conception. En les repoussant, on ouvrait la voie à une plus grande variété de perspectives, de styles et de méthodes. Cela favorisait une plus grande diversité dans le paysage artistique et contribuait à une discipline plus riche et dynamique.

Les problèmes contemporains, tels que la crise écologique, nécessitaient des approches novatrices et holistiques. En repoussant les limites méthodologiques, les professionnels de l’art et du design pouvaient développer des méthodes plus adaptées pour aborder ces défis. Cela pouvait conduire à des solutions plus durables et à une contribution plus significative à la résolution des problèmes sociaux et environnementaux. La perception de l’art et du design variait en fonction des cultures et des contextes. En repoussant les limites méthodologiques, les praticiens pouvaient mieux s’adapter et répondre aux attentes culturelles spécifiques. Cela renforçait la pertinence culturelle des œuvres et des conceptions, favorisant ainsi une meilleure compréhension et appréciation par le public.

Les limites méthodologiques pouvaient parfois entraver la collaboration entre différentes disciplines. En repoussant ces limites, on encourageait la collaboration interdisciplinaire, favorisant des approches hybrides qui intégraient des idées et des méthodes provenant de divers domaines. Cela pouvait conduire à des projets plus riches et plus complexes. Repousser les limites méthodologiques élargissait les horizons de la discipline en introduisant de nouvelles méthodes, théories et approches. Cela contribuait à la progression et à l’évolution constante de l’art et du design, empêchant la stagnation et favorisant une discipline dynamique et en constante évolution.

En somme, repousser les limites méthodologiques dans l’art et le design était essentiel pour dynamiser la discipline, encourager l’innovation, répondre aux défis contemporains, favoriser la diversité et renforcer la pertinence culturelle. Cela permettait à la discipline de rester en phase avec un monde en évolution constante et de contribuer de manière significative à la société et à la culture.

A+E // POUVEZ-VOUS PARTAGER UN EXEMPLE CONCRET OÙ LA QUESTION DES LIMITES MÉTHODOLOGIQUES A PROFONDÉMENT INFLUENCÉ VOTRE APPROCHE OU VOS RÉSULTATS DANS UN PROJET DE RECHERCHE ANTÉRIEUR ?

M. N. // Absolument, permettez-moi de partager un exemple concret où la question des limites méthodologiques a profondément influencé ma démarche dans un projet de recherche antérieur. Dans un projet de conception de produits écologiques, je me suis heurté à la question de la durabilité et de l’impact environnemental. Traditionnellement, les méthodologies de conception mettaient souvent l’accent sur l’esthétique et la fonction, mais l’aspect écologique était souvent traité en marge, voire négligé. Les méthodes conventionnelles ne semblaient pas suffisamment adaptées pour intégrer de manière holistique les préoccupations environnementales dans le processus de conception. La conception écologique nécessitait une approche plus profonde et intégrée, allant au-delà des simples choix de matériaux. J’ai décidé de repousser les limites méthodologiques en adoptant une approche systémique de la conception écologique. Plutôt que de me concentrer uniquement sur les matériaux, j’ai élargi la portée de la recherche pour inclure l’analyse du cycle de vie complet des produits. Cela signifiait considérer les impacts écologiques à chaque étape, de la conception à la fabrication, à l’utilisation et à l’élimination.

J’ai intégré des principes de l’écoconception, mais j’ai également exploré des approches plus radicales, comme le design biomimétique et la recherche de matériaux innovants issus de sources durables. Cela a nécessité une collaboration interdisciplinaire avec des experts en écologie, des scientifiques des matériaux et des ingénieurs spécialisés dans les technologies vertes. En repoussant ces limites méthodologiques, le projet a abouti à la création de produits qui ne se contentaient pas d’être esthétiquement attrayants et fonctionnels, mais qui étaient également profondément intégrés dans une perspective durable. Les produits étaient conçus pour minimiser leur empreinte écologique tout au long de leur cycle de vie, de la production à la fin de vie.

Ce projet a changé ma vision de la conception, soulignant que repousser les limites méthodologiques peut conduire à des résultats plus significatifs et durables. Il a également renforcé ma conviction en l’importance de considérer les questions environnementales comme des éléments centraux de la méthodologie de conception. Cela a influencé ma pratique continue en mettant l’accent sur l’intégration des considérations écologiques dès les premières étapes du processus de conception.

A+E // Y AVAIT-IL DES INNOVATIONS OU DES APPROCHES ÉMERGENTES QUE VOUS ESPÉRIEZ VOIR DISCUTÉES LORS DE CETTE CONFÉRENCE POUR REPENSER LES MÉTHODOLOGIES DE RECHERCHE EN ART ET DESIGN ?

M. N. // Absolument, je m’attendais à ce que la Conférence internationale « Limit/No Limit » soit une plateforme où des innovations et des approches émergentes dans les méthodologies de recherche en art et design soient discutées de manière approfondie. Voici quelques domaines que j’espérais voir explorés et débattus lors de cette conférence :

L’intégration de la dimension éthique dans la conception était de plus en plus cruciale. J’espérais voir des discussions sur les méthodologies qui favorisent un design inclusif, prenant en compte les diversités culturelles, sociales et individuelles, et respectant des normes éthiques élevées.

L’émergence de l’intelligence artificielle offrait des possibilités fascinantes pour repenser les méthodologies de conception. J’espérais que des présentations aborderaient l’impact de l’IA sur le processus de création artistique et la manière dont elle pouvait être utilisée de manière créative dans le design génératif.

Les méthodologies de conception inspirées par la nature étaient de plus en plus pertinentes. J’espérais que des discussions se concentreraient sur les méthodes biomimétiques, explorant comment les leçons de la nature pouvaient être intégrées dans le processus de conception pour des résultats innovants et durables.

Le design spéculatif offrait une manière intrigante de repenser le futur à travers la création d’objets et de scénarios provocateurs. J’espérais voir des exemples de méthodologies de recherche qui utilisaient le design spéculatif pour stimuler la réflexion sur les implications futures de l’art et du design.

Les défis contemporains nécessitaient souvent des solutions qui transcendaient les frontières disciplinaires. J’espérais que la conférence aborderait des méthodologies qui favorisaient la collaboration interdisciplinaire entre le design, la science, la technologie, la sociologie et d’autres domaines connexes.

Impliquer activement les utilisateurs dans le processus de conception devenait de plus en plus important. J’espérais voir des discussions sur les méthodologies de recherche qui mettaient l’accent sur la co-création et l’engagement des parties prenantes tout au long du processus de conception.

L’expérience utilisateur était un aspect clé du design contemporain. Des discussions sur des méthodologies de recherche qui plaçaient l’expérience utilisateur au cœur du processus, en utilisant des outils tels que le design thinking, auraient été enrichissantes.

Ces tendances émergentes reflétaient l’évolution rapide du domaine du design et de l’art. J’espérais que la conférence aurait servi de catalyseur pour explorer ces domaines, favoriser le dialogue et inspirer de nouvelles façons de repousser les limites méthodologiques dans notre domaine créatif.

A+E // COMMENT ENVISAGIEZ-VOUS L’APPLICATION PRATIQUE DES DISCUSSIONS ET DES IDÉES QUI ONT ÉTÉ ÉCHANGÉES LORS DE CETTE CONFÉRENCE DANS VOTRE TRAVAIL DE RECHERCHE FUTUR ?

M. N. // Les discussions et les idées échangées lors de la Conférence internationale « Limit/No Limit », ont eu un impact significatif sur la manière dont j’ai abordé mon travail de recherche futur. Voici comment j’ai envisagé l’application pratique de ces discussions dans ma pratique de recherche à venir :

J’ai espéré intégrer les nouvelles méthodologies discutées lors de la conférence dans mes projets de recherche futurs. Cela a impliqué l’adoption de méthodes de conception éthique, l’exploration de techniques de design génératif basées sur l’IA, ou l’application d’approches biomimétiques pour des solutions durables. Les discussions sur les approches interdisciplinaires ont influencé ma collaboration future avec des experts d’autres domaines. J’ai cherché à élargir mes réseaux et à travailler de manière plus étroite avec des professionnels de la science, de la sociologie et d’autres disciplines pour enrichir mes recherches.

Les concepts de co-création et de design participatif ont été intégrés de manière plus approfondie dans mes projets. J’ai cherché à impliquer activement les utilisateurs finaux dès les premières phases du processus de conception pour créer des solutions plus adaptées à leurs besoins et expériences. L’importance de l’expérience utilisateur a continué d’influencer mes recherches. J’ai cherché à appliquer des méthodologies qui mettaient l’accent sur la compréhension approfondie des utilisateurs et sur la création d’expériences significatives à travers le design.

Les discussions sur le design spéculatif m’ont incité à explorer des scénarios futurs provocateurs dans mes projets. J’ai adopté des approches qui stimulaient la réflexion sur les implications à long terme de mes créations dans un contexte en évolution constante. Les discussions sur les défis contemporains, tels que la crise écologique, m’ont encouragé à orienter mes recherches vers des solutions innovantes et durables. J’ai cherché à apporter une contribution significative à la résolution de problèmes sociaux et environnementaux par le biais de mes projets.

L’idée d’innovation mystique a continué à être un fil conducteur dans mes recherches. J’ai cherché à approfondir cette approche non standard, remettant en question la rationalité prédominante et explorant des dimensions plus profondes de la créativité.

En somme, la conférence a joué un rôle essentiel dans la définition de la trajectoire de mes recherches futures. Les idées échangées et les nouvelles perspectives acquises ont alimenté ma créativité, élargi mes horizons méthodologiques, et inspiré une approche plus holistique et interdisciplinaire dans mon travail de recherche à venir.

A+E // QUELS CONSEILS AURIEZ-VOUS DONNÉS À CEUX QUI CHERCHAIENT À REPOUSSER LES LIMITES MÉTHODOLOGIQUES DANS LEURS PROPRES TRAVAUX DE RECHERCHE EN ART ET DESIGN ?

M. N. // Repousser les limites méthodologiques dans le domaine de l’art et du design était une entreprise ambitieuse, mais elle pouvait être incroyablement enrichissante. Voici quelques conseils pour ceux qui cherchaient à repousser ces limites dans leurs propres travaux de recherche :

  • Restez curieux et ouvert à des influences diverses. Explorez des domaines en dehors de l’art et du design pour trouver des idées novatrices. Les concepts émergents souvent naissent de la convergence d’idées provenant de différentes disciplines.
  • Ne craignez pas de remettre en question les méthodologies conventionnelles. Identifiez les limites existantes dans votre domaine et demandez-vous comment elles pourraient être dépassées. L’innovation vient souvent de la volonté de défier le statu quo.
  • Collaborez avec des experts d’autres domaines. Les perspectives diverses stimulent la créativité et permettent d’explorer des approches méthodologiques que l’on n’aurait peut-être pas envisagées seul. Les solutions interdisciplinaires peuvent repousser les limites de manière significative.
  • Si votre travail traverse des frontières culturelles, intégrez ces nuances dans votre méthodologie. La compréhension des différences culturelles peut enrichir vos recherches et conduire à des résultats plus inclusifs et adaptés.
  • Tenez-vous informé des avancées technologiques et explorez comment elles peuvent être intégrées dans votre méthodologie. Les outils numériques, l’intelligence artificielle et d’autres technologies émergentes peuvent offrir des possibilités passionnantes pour repenser les approches de conception.
  • Assurez-vous que vos nouvelles méthodologies sont éthiques. La responsabilité sociale et environnementale devrait être intégrée dès les premières étapes du processus de recherche. Pensez aux implications de vos travaux sur la société et l’environnement.
  • Repousser les limites peut impliquer des défis et des résistances. Restez résilient face aux critiques et aux obstacles. La persévérance est souvent nécessaire pour introduire des idées novatrices et changer les paradigmes établis.
  • Partagez vos expériences et vos résultats avec la communauté. Contribuer à la diffusion des idées novatrices favorise une culture de l’innovation et encourage d’autres chercheurs à explorer de nouvelles voies méthodologiques.
  • Prenez du recul régulièrement pour réfléchir à vos choix méthodologiques. Évaluez ce qui fonctionne, ce qui peut être amélioré, et comment vos recherches peuvent avoir un impact positif sur la discipline.

En fin de compte, repousser les limites méthodologiques exigeait une combinaison de créativité, de courage et d’engagement. En adoptant une approche réfléchie et audacieuse, on pouvait contribuer à élargir les horizons de l’art et du design, et influencer positivement le paysage de la recherche dans ces domaines.


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